Pollen, 2007
Ces gravures sont diverses situations de départ d’un phosphène (Phos : lumière et de Phanein : apparaître). L’éclat extérieur dégage une tâche persistante qui, si on l’observe, fleurit et crée une sensation de bien-être.
Autre chose que des tâches, des accidents, ce sont des ponts lumineux entre le corps et l’humeur, le physique et le non-physique.
Les images, la plupart très pragmatiques, tendraient à nous raconter autre chose, mais elles documentent en même temps, ce simple moment d’absence à ce que je vois et de présence à ce que je suis.